Les salariés de CGG étaient rassemblés le 22 septembre devant CGG à Massy à l’occasion de l’ouverture des négociations sur le PSE pour dénoncer le projet de suppression de 94 postes et exiger :
- une vision globale des restructurations et de la répartition des activités sur l’ensemble des sites,
- des solutions alternatives pour préserver des emplois en tenant compte :
– des compétences spécifiques des équipes de Massy ;
– des capacités avérées de ces équipes à délivrer un service à leurs clients, tant externes qu’internes, à l’échelle régionale et mondiale ;
– de l’apport qu’elles pourraient avoir dans le cadre de l’évolution stratégique du groupe, en particulier dans l’innovation technologique et la diversification des activités, notamment les énergies renouvelables ;
– des possibilités de réduction du temps de travail, de formation et d’évolution des compétences ; - le recours au volontariat avec :
– des catégories professionnelles redéfinies conformément au droit, assurant un véritable choix aux salariés ;
-aucun licenciement contraint ; - des mesures d’accompagnement meilleures que celles du plan de 2018-2019, compte tenu de la situation de l’emploi, pour sécuriser les projets de chaque salarié-e.
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